2022-12-2
La COP15 s’étant conclue avec l’adoption du cadre mondial pour la biodiversité, Léa Bédard-Beaulieu nous revient avec des réflexions sur son expérience.
C’est dans la nuit de dimanche à lundi que le président de la COP15, le ministre chinois de l’Environnement, Huang Runqiu, a finalement déclaré l’adoption du cadre mondial pour la biodiversité sous un tonnerre d’applaudissements.
« À mon avis, le compromis est loin d’être parfait, mais c’est un pas significatif pour engager un grand nombre de pays dans la protection de la biodiversité »
Rappelons qu’il aura fallu 2 ans pour arriver à un accord qui ne fait pourtant pas l’entière unanimité. C’est le sujet du financement qui aura causé des remous jusqu’à la dernière minute.
« Au final, c’est nous, les citoyens, qui possédons la clé pour poursuivre le changement, par la mise en place d’initiatives locales pour la nature, mais aussi en demandant à nos gouvernements de faire toujours plus et toujours mieux pour la biodiversité ».
Léa Bédard-Beaulieu tient à exprimer sa déception sur le fait que le français a été écorché tout au long de la conférence malgré qu’elle se déroulait à Montréal. Une opportunité ratée de démontrer la vitalité de notre culture.